FNR

Au total, un échantillon représentatif de la population de 600 personnes a été interrogé.

Le Fonds National de la Recherche (FNR) réalise tous les 2 ans un sondage sur l’importance de la science et de la recherche. Dans ce sondage statistique représentatif, la population est interrogée, entre autres, sur sa confiance en la recherche et en la science, sur l’intérêt qu’elle y porte, sur son sentiment d’être bien ou mal informée et sur son évaluation de l’impact de la recherche et de la science sur notre vie. Cette année, des questions supplémentaires concernant la disposition à se faire vacciner et l’évaluation de la contribution de la science dans la pandémie de Covid y ont été ajoutées.

Le sondage a eu lieu à la mi-mars. Les résultats étaient cette année particulièrement intéressants en raison de la crise du Covid. Comparés aux sondages des années précédentes, les taux de confiance et d’intérêt accordés par les citoyens, en cette période de pandémie, sont-ils plus hauts ou plus bas ? La population souhaite-t-elle plus ou moins d’investissements dans la recherche ? Notons que la plupart des taux ont augmenté. Voici l‘évaluation de Marc Schiltz, secrétaire général du FNR :

« Nous nous réjouissons de constater que la population luxembourgeoise accorde sa confiance aux chercheurs ainsi qu‘à la recherche et qu’elle souhaite de plus gros investissements dans la recherche », déclare Marc Schiltz, secrétaire  du Fonds National de la Recherche. « Dans une période durant laquelle la science fait l’objet d’une attention particulière de la part du grand public et reçoit des éloges mais aussi des critiques, il était cette année particulièrement intéressant de découvrir si les taux du sondage allaient augmenter ou chuter. Nous nous attendions à ce que les taux de certains acteurs augment au vu de leur notoriété. Nous ne nous attendions pas, en revanche, à ce que pratiquement tous les taux du sondage augmentent. La confiance de la population en la science a augmenté. L’intérêt également. Ainsi que le fait que la recherche ait un impact dans notre vie sociale, économique et personnelle. Nous nous réjouissons également de constater que l’apport de la recherche luxembourgeoise dans la gestion de la crise du Covid a été évalué de façon positive. »

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Le Fonds National de la Recherche (FNR) réalise tous les 2 ans un sondage sur l’importance de la science et de la recherche. Au cours du temps, le questionnaire a légèrement évolué mais certaines questions et certains attributs n’ont pas changé. Cette année, des questions supplémentaires concernant la disposition à se faire vacciner et l’évaluation de la contribution de la science dans la pandémie de Covid y ont été ajoutées.

L’évolution depuis 2013, répartie sur 4 enquêtes, est exposée dans le présent rapport.

Depuis 2007, la collecte de données résulte de la combinaison de 2 méthodes 

La méthode cawi (sondage par Internet par notre panel Question.lu) (+/- 70 % des personnes sondées)

La méthode cati (enquête téléphonique assistée par ordinateur sur des numéros fixes publics) (+/- 30 % des personnes sondées)

Au total, un échantillon représentatif de la population de 600 personnes a été interrogé.

L’échantillon est représentatif sur base des quotas hommes-femmes, de quatre quotas d’âges et de deux quotas de nationalités.

Afin de garantir un confort de lecture, nous avons renoncé à la représentation de nombres décimaux. La somme totale des taux des graphiques n’est donc pas toujours exactement de 100%.

Voici la composition de l‘échantillon :

Échantillon

Le taux de confiance en la science et en la recherche a encore augmenté

70% de la population a confiance en la science et en la recherche – comparé à 67% lors du sondage de 2019. C’est surtout le nombre de personnes ayant « une confiance absolue » qui a augmenté, de 14% à 20%.

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Selon le sondage de 2019, les personnes plus âgées à partir de 60 ans étaient celles qui avaient le plus confiance en la science et les jeunes (15-29) étaient ceux qui en avaient le moins. Dans le sondage de 2021, c’est la tranche d’âge des 30-44 ans qui ont le plus confiance en la science (+ 4 points de pourcentage).

La plus grande hausse a toutefois été enregistrée chez les très jeunes (+12 points de pourcentage de « confiance absolue »). Lors du sondage de 2019, la question de la « confiance absolue » rassemblait un nombre particulièrement élevé d’indécis.

Cette confiance a toutefois reculé dans les deux tranches d’âges des plus de 40 ans (même si cela n’est pas si simple pour les 40-55 ans : dans cette tranche d’âge, le nombre de personnes octroyant une confiance absolue a augmenté (+4 points de pourcentage) mais a diminué chez les personnes ayant plutôt confiance (-7 points de pourcentage)). Ce n’est que chez les plus de 60 ans que le taux concernant la confiance en la science a diminué (-7 points de pourcentage à seulement 68%).

 

74% des hommes ont confiance en la science, contre 66% des femmes – une légère hausse par rapport à 2019 pour les deux sexes.

Chez les hommes, c’est principalement la notion de « confiance absolue » qui a augmenté : de 16% à 23%. Chez les femmes, cette confiance absolue a augmenté de 13% à 17%.

 

Les taux de confiance les plus élevés sont enregistrés dans la catégorie « autres nationalités » (74%), viennent ensuite les Luxembourgeois (72%) et les concitoyens de nationalité portugaise (56%). Chez les Luxembourgeois, on note un grand bond en avant chez les personnes octroyant une confiance absolue (+12 points de pourcentage).

Chez les concitoyens de nationalité portugaise, on note une augmentation de 4% par rapport au dernier sondage mais la « confiance absolue » a légèrement baissé.

 

La confiance en la science augmente avec le niveau d‘études :

48% avec un diplôme d’école primaire +3

68% avec un diplôme d’école secondaire

79% avec un diplôme universitaire

24% des sondés avec un diplôme universitaire ont même déclaré avoir une « confiance absolue » en la science. Ce sont 4 points de pourcentage de plus qu’en 2019. Chez les sondés avec un niveau d’études « école secondaire », on note une hausse de 8 points de pourcentage - ils n’étaient que 60% lors du dernier sondage. C’est surtout la « confiance absolue » qui a augmenté de 9% à 21%.

La confiance en la science exprimée par les sondés dont le niveau d’éducation est de « école primaire +3 » a augmenté de 2 points de pourcentage, toutefois la « confiance absolue » a baissé de 12% à 5%. 4% des sondés ont même déclaré n’avoir aucune confiance en la science – contre seulement 1% en 2019.

Taux d’approbation élevé concernant la contribution de la science à la gestion de la crise du Covid

La population luxembourgeoise évalue la contribution de la recherche luxembourgeoise à la gestion de la crise du Covid au Luxembourg de façon très positive. Sur une échelle de 1 (pas du tout d’accord) à 6 (tout à fait d’accord), voici les affirmations privilégiées par les sondés :

Le savoir des scientifiques est nécessaire pour ralentir la propagation du Coronavirus au Luxembourg : 5,26 sur 6 (ou, si l’on considère le pourcentage des personnes ayant choisi les cases 5 ou 6 (top box = grand succès), on arrive à un résultat de 83 % top box (large approbation)).

Taux également élevé d’approbation quant au fait que les décisions politiques concernant le Coronavirus doivent reposer sur des faits scientifiques (5,18 sur 6, resp. 79% top box)

Concernant le thème de la politique basée sur des données scientifiques : le parlement luxembourgeois, avec la collaboration du Fonds National de la Recherche, met actuellement en place un service scientifique pour le parlement. Au mois de janvier, une publication de poste à pourvoir concernant le recrutement d’experts pour ce nouveau service a été créée. Plus d’infos disponibles dans cet article :

La population est également majoritairement d’avis que les scientifiques devraient participer activement aux débats politiques concernant le Coronavirus (4,96 sur 6, resp. 73% top box).

Avec des chiffres légèrement en baisse mais clairement et majoritairement positifs, les citoyens approuvent le fait que la recherche scientifique au Luxembourg ait contribué à une meilleure gestion de la crise du Coronavirus (4,35 sur une échelle de 1 à 6 resp. 54% top box).

Marc Schiltz, secrétaire général du FNR déclare à ce sujet : « La crise du Covid nous a montré à quel point nous profitons d’une propre expertise scientifique, au sein même de notre pays. La task force de la Research Luxembourg, respectivement la recherche au sens large, joue un rôle essentiel dans la gestion de la crise. Nous sommes heureux de constater que la population luxembourgeoise, dans sa majorité, reconnaisse la contribution de la science ».

En ce qui concerne ces questions, le FNR s’est inspiré de sondages similaires en Allemagne et en Suisse.

La population suisse a elle-aussi répondu au sondage sur une échelle de 1 (pas du tout d’accord) à 6 (tout à fait d‘accord). Nous comparons ici les données de la top box (il s’agit donc des réponses notées 5 et 6).

Taux d’approbation (top box) du fait que les scientifiques devraient participer activement aux débats politiques concernant le Coronavirus : Suisse 63%, Luxembourg 73%.

Taux d’approbation (top box) du fait que « Le savoir des scientifiques est nécessaire pour ralentir la propagation du Coronavirus en Suisse. » Suisse : 77%. Question similaire pour le Luxembourg : 83%.

Taux d’approbation du fait que « les décisions politiques concernant le Coronavirus devraient reposer sur des faits scientifiques ». Suisse : 77% top box. Luxembourg : 79%.

L’intégralité des résultats du sondage suisse est disponible ici.

 

Source: WissensCHaftsbarometer Schweiz COVID-19 Edition

Le sondage effectué en Allemagne était structuré différemment (autres formulations, autres échelles…). Les chiffres ne peuvent donc pas être comparés les uns avec les autres. Des questions similaires ont toutefois été posées concernant le baromètre scientifique. Voici les résultats.

Source: Wissenschaft im Dialog/Kantar, CC BY-ND 4.0

Médecins, chercheurs, hommes politiques, journalistes : taux de confiance inspiré par différentes professions lors de déclarations en rapport avec le Coronavirus

Les déclarations de quelle profession inspirent le plus la confiance de la population lorsqu’il s’agit d’aborder le thème du Coronavirus ? Sans grande surprise ce sont les déclarations des médecins et du personnel médical (85%) qui inspirent le plus confiance, suivi de près par les chercheurs (82%).

39% accordent leur confiance aux déclarations, toujours en rapport avec le Coronavirus, de représentants d’autorités publiques ou d’institutions, 31 % de personnalités politiques, 28% de membres de la famille, de connaissances ou d‘amis, et 22% de journalistes.

 

Disposition de la population à se faire vacciner (Covid-19)

Le FNR a également demandé quelle est la disposition de la population à se faire vacciner afin de se protéger du Covid 19.  (Attention : le sondage a été effectué mi-mars. Les taux actuels peuvent varier, étant donné qu’il s’agit toujours d’une opinion à un moment précis et que la disposition à se faire vacciner varie avec le temps).  

Au moment du sondage, 67% des sondés voulaient se faire vacciner et 6% l’étaient déjà. Au total, cela représenterait 73% de personnes vaccinées si celles-ci se faisaient réellement toutes vacciner.

Cela suffirait-il pour une immunité collective ? Malheureusement, nous ne pouvons pas encore y apporter de réponse définitive. Des informations supplémentaires sont disponibles dans l’article suivant : 

Si l’on soustrait de ce calcul les 6% déjà vaccinés à ce moment-là, le nombre de participants au sondage prêts à se faire vacciner s’élève à 71%, et 14% d’indécis. Ce qui représente une hausse conséquente, par rapport au sondage de science.lu effectué en décembre, dans lequel la disposition à se faire vacciner était de 55%. (Plus d’infos à ce sujet dans la boîte à infos).

Il est intéressant de noter que la disposition à se faire vacciner augmente principalement avec l’âge : 84% de la population des 60+ souhaitent se faire vacciner (parmi lesquels, 78% très probablement). Chez les 15-29 ans, ce ne sont plus que 59% (parmi lesquels 42% très probablement).

Notons également des différences

  • en fonction de la nationalité : chez les Luxembourgeois, 75% seraient prêts à se faire vacciner, chez les « autres nationalités » 69% et chez les Portugais 58%
  • en fonction du sexe : 74 % des hommes seraient prêts à se faire vacciner, chez les femmes le taux est de 67%.
  • en fonction du niveau d’études : plus le niveau d’études est élevé, plus la disposition à se faire vacciner est élevée.

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Des résultats similaires au sondage TNS-Ilres du Luxemburger Wort et d’RTL

Le sondage TNS Ilres, publié le 23 mars, annonçait des résultats similaires : 66% de la population luxembourgeoise y déclarait vouloir se faire probablement ou très probablement vacciner (contre 67% dans le sondage du FNR) et 5% étaient déjà vaccinés (contre 6% dans le sondage du FNR). Des différences similaires ont également été confirmées par rapport au sexe et à l’âge, concernant la disposition à se faire vacciner.

Comparaison avec le sondage science.lu : en décembre, la disposition à se faire vacciner était de 55% - importante augmentation depuis

Au mois de décembre, nous avions effectué un sondage sur science.lu concernant la disposition à se faire vacciner avec plus de 2500 participants (non représentatifs mais un nombre plus élevé de participants). Le taux y était alors encore bas, avec 55% prêts à se faire vacciner (contre 73 % mi-mars). Dans un sondage non représentatif sur science.lu, avec toutefois plus de 2500 participants, les résultats observés sont similaires (volonté à se faire vacciner plus élevée chez les hommes, les personnes âgées et les Luxembourgeois vs les Portugais…) aux résultats de ce sondage. Cela signifie que même si les chiffres absolus varient, les tendances sont jusqu’à présent relativement stables. Lien vers les résultats du sondage de début décembre.

Afin d’analyser plus précisément le profil des participants qui souhaitent se faire vacciner ou qui ne le souhaitent pas, plusieurs questions ont été comparées entre-elles. Pour ce faire, les participants ont été divisés en 3 groupes : les « adopters » (ceux qui globalement veulent se faire vacciner ou qui le sont déjà), les « hesitants » (les indécis) qui ne sont pas encore certains et les « rejectors » qui ne souhaitent pas se faire vacciner. 

On peut ainsi constater,

  • que les « rejectors » ont tendance à être moins intéressés par la recherche et la science que les « adopters »,
  • que les « rejectors » ont moins confiance en la science et en la recherche que les « adopters »
  • que les « rejectors » se sentent globalement moins bien informés que les « adopters »
  • que moins de « rejectors » veulent être mieux informés que chez les « adopters »

Attention : il s‘agit ici de corrélations et non de causalités. Si des personnes qui ne se sentent pas correctement informés ont tendance à moins vouloir se faire vacciner, cela ne signifie pas forcément qu’à l’inverse, ils se feraient plutôt vacciner s’ils se sentaient mieux informés. Le degré d’information est mis en corrélation avec la disposition à se faire vacciner. Toutefois, rien ne prouve qu’il soit la cause de la disposition à se faire vacciner. 

 

L’intérêt pour la science a encore augmenté

L’intérêt de la population pour la science a encore augmenté (de 3 points de pourcentage) à désormais 64% de la population qui se révèle être intéressée par la science et la recherche. Depuis 2013, ce chiffre est en constante augmentation.

Evaluation de l’impact de la science : taux en hausse partout

Le FNR demande régulièrement dans ses sondages, de quelle façon les sondés évaluent l’impact de la science et de la recherche (sur notre économie, sur notre vie quotidienne, sur l’environnement et sur notre société) ; si un petit pays comme le Luxembourg devrait investir dans la recherche et si les chercheurs font suffisamment d’efforts pour impliquer la société et pour l’informer. Des réponses positives ont été enregistrées de toutes parts. Les taux sont représentés sur une échelle de 1 à 6. Si on les divise en 3 box (top (5 et 6), middle (3 et 4), bottom (1 et 2)), on obtient les taux d’approbation suivants (ci-dessous, détail de la top box, c’est à dire réponses notées 5 ou 6) :

  • 87% : Même un petit pays comme le Luxembourg devrait investir dans la recherche (+6 points de pourcentage)
  • 72% : La recherche scientifique contribue à la compétitivité économique du Luxembourg (+10 points de pourcentage)
  • 63% : La recherche scientifique au Luxembourg a une utilité pratique et concrète qui améliore la vie quotidienne (santé, mobilité, etc.) (+6 points de pourcentage)
  • 63% : La recherche scientifique apporte son aide afin de trouver des solutions aux problèmes d’environnement au Luxembourg (inondations, pollution, sources d‘énergies, etc.) (+4 points de pourcentage)
  • 47% : La recherche scientifique apporte son aide afin de trouver des solutions aux problèmes de société au Luxembourg (éducation, cohésion sociale, multilinguisme, etc.) (+8 points de pourcentage)
  • 32% : Les scientifiques / chercheurs s’efforcent d’impliquer le public et de faire connaître son travail à un large public. (+6 points de pourcentage)

La population souhaite être mieux informée

 

  • 64% de la population sondée a déclaré, dans l’enquête de 2021, s’intéresser à la science et à la recherche au Luxembourg (40% moyennement intéressés, 24 % très intéressés) - une augmentation considérable depuis 2011, où seulement 40% de la population déclarait s’intéresser à la science et à la recherche.
  • 40% des personnes au Luxembourg se sentent bien ou moyennement bien informés en ce qui concerne la science et la recherche. La hausse est ici de 6 points de pourcentage par rapport au sondage de 2019.
  • 69% des personnes souhaiteraient toutefois être mieux informées, en particulier la tranche d’âge des 60+ avec 75 %. Le souhait de recevoir plus d’informations a augmenté depuis 2011 et s’est stabilisé depuis 2019 (en 2019 le taux était de 70%). Le pourcentage des personnes ne souhaitant pas être mieux informées, a considérablement chuté (de 36% en 2017 à 15% en 2021).
  • Qu’en est-il de la confiance accordée aux sources d’information ? 89% des sondés accordent leur confiance à des informations lues sur le thème de la science et la recherche, si celles-ci sont relayées par des acteurs de la recherche. Dans ce cas, c’est particulièrement le nombre des personnes accordant une « confiance absolue » qui a augmenté, de 18% à 23%. 76% accordent leur confiance à des informations concernant la science et la recherche relayées dans la presse.  

Les enfants / adolescents ne sont pas suffisamment formés aux sciences naturelles

Seuls 17 % des sondés sont d’avis que les enfants /adolescents sont suffisamment formés aux sciences naturelles dans les écoles fondamentales (24% en ce qui concerne les sciences naturelles dans les écoles secondaires).

56% des personnes sont d’avis que l’école secondaire ne forme pas suffisamment les élèves aux sciences naturelles. Ce sont particulièrement les jeunes (15-29 ans) qui, avec 61%, le ressentent ainsi.

Net soutien pour la recherche au Luxembourg

57% sont d’avis que les investissements du gouvernement devraient être plus importants. Comparé au sondage de 2019, l’augmentation est de 9%. 39% des sondés sont d’avis qu’ils devraient être maintenus au niveau actuel.

51% connaissent science.lu, 55% Mr Science

51% de la population connaît science.lu ou en a au moins déjà entendu parler ou a lu quelque chose à son sujet. Cela représente une hausse de 8 points de pourcentage par rapport à 2019. C’est chez les 15-19 ans que le site web est le plus connu (68%). Il est également intéressant de constater que les femmes connaissent plus science.lu (57%) que les hommes (45%). Notons aussi que la popularité de science.lu est similaire quel que soit le niveau d’études.

Comment connaissez-vous science.lu?

Choices

55% de la population luxembourgeoise a déjà entendu parler de Mr Science. De 2013 à 2021, cela représente une hausse de 8%. Ici aussi, le degré de notoriété est le plus élevé chez les 15-29 ans (64%).

Comment connaissez-vous Mr Science?

Choices

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Auteurs: Jean-Paul Bertemes (FNR), Melanie Reuter (FNR)

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